Dans cette édition, nous avons le plaisir de vous présenter Elías Benhamú, notre directeur financier pour la France et l'Espagne
Elías nous fait part de son expérience et de ses réflexions dans cet article.
Qui êtes-vous ?
Je m'appelle Elías, j'ai 32 ans et je viens d'une ville appelée Cordoba en Espagne. Je travaille avec Customs Support depuis plus de deux ans. J'ai commencé en tant que directeur financier pour la France et j'ai ajouté l'Espagne à mes responsabilités à la suite d'une acquisition.
Que fait un directeur financier ?
Je suis responsable de toutes les questions financières. Par exemple, je dois fournir des informations financières pour soutenir la prise de décision stratégique, établir des prévisions financières et des analyses de variance, identifier et évaluer les risques financiers, et gérer les flux de trésorerie et les liquidités.
À quoi ressemble votre journée de travail typique ?
Cela dépend, car je travaille pour deux pays. Je peux travailler soit en France, soit en Espagne, soit à domicile. Je vais au bureau espagnol toutes les deux semaines et au bureau français toutes les trois ou quatre semaines. Le reste du temps, je travaille à domicile.
Je commence la journée par mes tâches quotidiennes, je les accomplis et je me concentre ensuite sur les projets plus importants. Actuellement, nous approchons du mois de janvier et je consacre donc mon temps à la clôture de l'exercice.
Comment se déroulait votre carrière avant de rejoindre Customs Support ?
Je suis diplômée en commerce et administration, avec une spécialisation en finance. J'ai étudié en Espagne, mais j'ai également passé une année d'études aux États-Unis et une autre année à Amsterdam.
J'ai commencé à travailler dans un cabinet de conseil et de comptabilité, où j'ai passé quatre ans. J'ai d'abord travaillé dans le service d'audit, puis dans le service de fusions et acquisitions.
Ensuite, j'ai travaillé dans une entreprise industrielle en Espagne en tant que directeur financier. J'ai occupé ce poste pendant trois ans avant de rejoindre Customs Support.
Combien de langues parlez-vous ?
Je parle espagnol, anglais, un peu de français et j'apprends actuellement le portugais. Mon français s'améliore sans cesse. C'est l'expression orale qui me gêne, mais je m'améliore au fil du temps.
Qu'est-ce qui vous a incité à travailler avec Customs Support et à vous orienter vers l'industrie douanière ?
Je ne connaissais pas grand-chose au secteur des douanes auparavant, mais j'étais intéressée par travailler avec Customs Support parce que c'est un projet passionnant. C'est une entreprise qui évolue rapidement et qui pousse la croissance à la fois par l'innovation et par l'acquisition. Il y a beaucoup de variété et toujours un nouveau défi à relever.
Quelle est la prochaine étape pour la France et l'Espagne ?
Nous envisageons d'étendre notre empreinte dans les deux pays, en particulier en Espagne, qui est une région plus récente pour nous. C'est un long processus, mais nous avons de grands projets.
Qu'aimez-vous faire lorsque vous n'êtes pas au travail et comment pensez-vous que cela influence vos compétences professionnelles ?
J'ai toujours été sportif, je jouais au basket-ball et à d'autres sports en grandissant. Aujourd'hui, je fais du CrossFit tous les jours. Je fais aussi régulièrement du roller, et j'ai pratiqué le Jui Jitsu pendant un an. C'est important pour moi de rester en forme et cela m'aide à faire face aux situations difficiles.
Vous travaillez pour un réseau européen. Si vous deviez visiter un bureau de Customs Support, dans quelle ville ou quel pays souhaiteriez-vous vous rendre en premier et pourquoi ?
J'ai déjà visité certains d'entre eux. J'aime bien le bureau de Rotterdam et aussi l'Italie ; ils sont très sympas et j'aimerais bien y retourner.